Attention, cette commande nécessite de savoir précisément l’identification de votre clé usb, sinon vous risquez de perdre toutes vos données en formattant votre disque dur.
Pour plus d’informations : https://doc.ubuntu-fr.org/live_usb#en_ligne_de_commandes
Il est également possible d’utiliser plusieurs images dans une seule clé. Pour cela on peut installer multibootusb (http://multibootusb.org/page_download/). Pour l’installer :
Si vous rencontrez des problèmes de dépendances non satisfaites, relevez les noms de ces paquets, installez les puis répétez la commande ci-dessus.
Exécutez ensuite le programme avec sudo multibootusb.
La vérification d’iso consiste à vérifier l’authenticité et l’intégrité des images téléchargées. La méthode exacte sera spécifique à chaque .iso car les fichiers et signatures ne seront pas la même, cette partie présentera donc des commandes usuelles mais ne permet pas de réaliser toutes les étapes sans regarder la documentation spécifique à la vérification souhaitée.
Tentative d’explication : l’authenticité permet de vérifier que le fichier téléchargé a bien été créé par la personne qui dit l’avoir signée. L’intégrité permet de vérifier que le fichier n’a pas été modifié par une personne tiers. Ces méthodes ne peut pas prouver que le fichier n’est pas malicieux, on doit donc choisir de nous-même si l’on fait confiance aux personnes qui ont créé ces fichiers.
Tout d’abord, télécharger dans le même fichier le .iso (ou autre format, mais le fichier de l’image logiciel) et les fichiers de signature SHA256sum.txt et SHA256sum.txt.gpg (de même, les extensions de fichier peuvent varier).
Il faut ensuite générer le SHA256sum de l’iso téléchargé afin de le comparer au fichier téléchargé.
Générer le SHA256sum :
Il faut ensuite comparer la signature obtenue à celle contenue dans SHA256sum.txt. Une méthode permet de le faire à partir d’une ligne de commande :
Vérification d’authenticité
Pour vérifier l’authenticité de SHA256sum.txt il faut vérifier la signature de SHA256sum.txt.gpg.
Il faut tout d’abord importer la clé de signature du système d’exploitation, pour Debian :
Il arrive qu’après une nouvelle installation le clavier bip en cas d’entrée vide.
Pour l’enlever :
Le bruit aura disparu après un redémarrage.
Après une nouvelle installation de Manjaro, je n’avais pas accès à GRUB au démarrage et je ne pouvais pas changer de noyau. Cela était dû au fait que GRUB était configuré comme caché. On peut le modifier dans son fichier de configuration : /etc/default/grub. Il suffit de changer
en
Il est aussi possible de changer le temps d’affichage de GRUB avec la variable GRUB_TIMEOUT.
Pour que les changements soient pris en compte :
Le shell par défaut des principales distributions Linux est bash, un autre shell populaire offrant de nombreuses fonctionnalités est zsh et son extension populaire oh-my-zsh.
Pour l’utiliser il faut d’abord l’installer :
pour Arch Linux ou Manjaro :
On peut vérifier qu’il est bien installé avec :
Pour changer de shell par défaut et pour passer à zsh :
Il faut ensuite se déconnecter pour mettre à jour le changement.
Installer oh-my-zsh
Il est maintenant possible de configurer à nos souhaits ce shell via le fichier .zshrc.
Deux vidéos intéressantes pour comprendre les fonctionnalités disponibles et comment les utiliser :
https://www.youtube.com/watch?v=4KBuPCeF9Gc
https://www.youtube.com/watch?v=soAwUq2cQHQ
Un plugin pour surligner de la couleur correspondante les codes couleurs dans Vim :
https://github.com/gko/vim-coloresque
Monter un disque chiffré ne requiert pas les mêmes commandes que pour un disque normal, mais c’est finalement assez simple.
Tout d’abord vous devez bien entendu avoir cryptsetup d’installé sur votre système.
Ensuite on aura ces opérations à réaliser :
Le /dev/sdc1 donne l’information de la partition que vous voulez monter, et cryptdrive est le mapper que vous nommez pour que le système reconnaisse le disque.
La deuxième ligne est optionnelle si l’emplacement de montage souhaité existe déjà.
La dernière commande est la commande habituelle de montage : identification du disque à monter et l’emplacement où le monter.
Il est possible de monter automatique le disque chiffré sans avoir à renseigner la phrase de déchiffrement si vous configurez un fichier "clé" et l’utilisez au démarrage.
Mon "tuto" est seulement un rappel des commandes nécessaires, sans grandes explications car tout est bien détaillé dans la source que j’ai utilisé. Si cela ne fonctionne pas parfaitement il y a plus de détails dans l’article source.
Source : https://blog.tinned-software.net/automount-a-luks-encrypted-volume-on-system-start/
On commence par créer un fichier disksecretkey rempli aléatoirement qui servira à contenir la clé de déchiffrement. Il faudra peut être créer le dossier luks-keys si il n’existe pas.
On peut ensuite lier ce fichier à notre disque et sa phrase de déchiffrement :
Cela vous demandera la phrase de déchiffrement de votre disque (attention à bien renseigner votre partition à la place de sdb1).
Ensuite on récupère le UUID du disque pour l’utiliser dans les règles au démarrage :
On ajoute une règle dans le fichier /etc/crypttab :
Enfin, pour qu’il soit monté au démarrage on ajoute une ligne au fichier dédié : /etc/fstab
Pour des règles plus spécifiques consultez la page dédiée à fstab : http://man7.org/linux/man-pages/man5/fstab.5.html
Il est possible de changer l’image d’arrière plan de GRUB, l’utilitaire de démarrage de Debian (et d’autres distribution) qui permet de choisir quelle distribution lancer.
L’image utilisée doit cependant respecter un format spécifique, elles peuvent être png, jpg/jpeg ou tga mais avec ces caractéristiques :
les images doivent être 8-bits (256 couleurs)
les images doivent être non-indexées, RGB
Des convertisseurs d’images pour les transformer sous ces caractéristiques sont trouvables sur internet.
Par défaut, si le paquet desktop-base est installé les images utilisables sont trouvables dans le répertoire /usr/share/images/desktop-base/.
GRUB va chercher l’image à afficher selon un ordre particulier présenté ici par ordre de priorité :
la ligne GRUB_BACKGROUND dans /etc/default/grub
la première image trouvée dans /boot/grub/
l’image spécifiée dans /usr/share/desktop-base/grub_background.sh
le fichier listé à la ligne WALLPAPER dans /etc/grub.d/05_debian_theme
Le plus simple étant donc de modifier ou créer la ligne GRUB_BACKGROUND= dans
/etc/default/grub en ajoutant le chemin du fichier derrière le =. pour modifier ce fichier, il est nécessaire d’avoir les droits administrateur.
Pour avoir la modification effective, il faut utiliser la commande :
update-grub
Changer les couleurs du texte :
On peut également changer les couleurs du texte grâce aux 3 options suivantes :
menu_color_highlight : la couleur de l’entrée menu surlignée et son fond à l’intérieur du menu.
menu_color_normal : la couleur de l’entrée menu non-sélectionnée et son fond
color_normal : la couleur du texte et son fond à l’extérieur du menu.
La syntaxe à utiliser est la suivante :
menu_color_highlight=fg-color/bg-color
Et la liste des couleurs supportées est :
black
blue
brown
cyan
dark-gray
green
light-cyan
light-blue
light-green
light-gray
light-magenta
light-red
magenta
red
white
yellow
Pour changer les couleurs, il faut ensuite ouvrir /etc/grub.d/05_debian_theme et trouver la ligne :
Et la remplacer par :
Ne pas changer le "black" dans color_normal sinon l’image ne sera pas transparente à l’endroit où le menu est affiché.
Pour avoir la modification effective et la visualiser, il faut utiliser la commande suivante et redémarrer
update-grub
Il est également possible d’expérimenter en "live" au démarrage en arrêtant le compte à rebours (en tapant n’importe quelle touche) et en tapant "C" pour entrer dans la ligne de commande GRUB.
Vous pouvez alors expérimenter à votre souhait :
Pressez ESC pour voir les modifications et recommencez si cela ne vous convient pas.
Il est possible d’utiliser le pavé numérique comme une souris ! Pour l’activer de manière non permanente il suffit d’utiliser :
Ensuite pour l’utiliser il faut utiliser la combinaison Shift+NumLock et le pavé numérique fonctionnera comme une souris avec des raccourcis spécifiques.
Pour se déplacer :
7, 8, 9 pour un déplacement vers le haut
4, 6 pour gauche et droite
1, 2, 3 pour le bas
Pour cliquer c’est légèrement compliqué :
/ sélectionne le clic gauche (appuyer deux fois pour un double clic, trois fois pour un triple)
* sélectionne le clic du milieu
- sélectionne le clic droit
Une fois que le clic est sélectionné il est seulement actif et il faut donc utiliser une autre touche pour l’utiliser :
5 ou + pour réellement cliquer
0 / ins pour cliquer et garder actif (pour faire glisser)
. / Del pour libérer
Pour garder cette configuration au redémarrage il faut ajouter l’option dans le fichier de configuration, ou le créer si besoin :
/etc/X11/xorg.conf.d/00-keyboard.conf
Source : https://linuxreviews.org/HOWTO_use_the_numeric_keyboard_keys_as_mouse_in_XOrg
Pour régler la luminosité en ligne de commande, on utilise xrandr.
Tout d’abord on cherche l’écran que l’on veut paramétrer :
On voit donc que l’écran connecté est LVDS-1. Pour le baisser à 50% de luminosité :
Pour toute autre valeur on ajuste le nombre renseigné (1 pour avoir 100%, 0.1 pour 10% etc).
J’ai trouvé une manière de changer la luminosité après quelques recherches, c’est probablement une manière beaucoup trop compliquée de faire mais c’est pratique pour apprendre les commandes et ça fonctionne.
J’ai fait trois scripts différents, un pour augmenter de 10% la luminosité, un pour la baisser et un dernier pour juste afficher la luminosité actuelle en pourcentage.
Ces scripts sont composés de seulement une ligne mais avec plusieurs commandes dedans. Ainsi, celle-ci permet de baisser la luminosité de 10% :
On retrouve la commande de départ avec le --output avec le nom de votre écran puis --brightness qui prend la valeur en décimale qu’on veut pour l’écran (1.0 pour 100% et 0.1 pour 10%). On cherche d’abord la luminosité actuelle.
Donne quelque chose comme :
On utilise alors :
Le signe | permet d’envoyer le résultat de la commande à gauche dans la commande à droite.
Cela permet de récupérer seulement la valeur décimale.
Puis on utilise -.1 pour enlever 10% à la valeur trouvée.
En bash on ne peut pas faire du calcul en décimal puisque les valeurs sont considérés comme des chaînes de caractères. Il faut alors utiliser bc : http://jlbicquelet.free.fr/unix/bc.php.
bc prend comme argument la valeur de la parenthèse (à l’aide du signe $) et fait le calcul, qui nous rend donc la valeur actuelle de la luminosité moins 10%.
De la même manière, on a la commande pour augmenter de 10% :
Enfin, j’ai fait une commande pour récupérer la valeur actuelle de la luminosité et la convertir en pourcentage :
On retrouve la même base sauf que le calcul est seulement une multiplication par 100 de la valeur actuelle. Cette commande est utilisée pour mon widget de luminosité.
Pour modifier l’image affichée sur l’écran de connexion.
Le paquet accountsservice résoud une dépendance et permet d’utiliser mugshot qui définit la photo de profil du compte.
On utilise le paquet fdupes :
Pour chercher les doublons récursivement dans un dossier et les supprimer :
Sources : : https://linux.die.net/man/1/fdupes
Une autre solution est d’utiliser fslint :
sudo apt-get install jpegoptim